GERARD DECQ
Au-dessus du temps
En franchissant l'Oeiras, moi qui, au volant de ma petite auto, venais de l'Algarve, je fus séduit par ce site haut perché et je prenais la première route à droite : quelle pente et quelle étroitesse, en bord de ravin ! Je me demandais bien si j'allais pouvoir atteindre le château là-haut. Je grimpais quand même, après avoir enclenché la première, un virage en lacet, et j'atteignais une placette. Peu de véhicules en ces lieux, et puis la ruelle en galets qui continuait de grimper invitait à la marche pédestre. Des maisons aux façades bien blanchies, maisons anciennes au confort sûrement rudimentaire : un lieu plutôt intemporel.
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