Antoine D'Audigier
Il serait dommage d’arpenter le désert de...
Il serait dommage d’arpenter le désert de Gobi sans une petite virée, installé entre les deux bosses d’un chameau.
Surtout que, même accompagné d’un guide, vous serez le maître de l’animal et devrez le diriger à force de coups et d’onomatopées, la plupart plus simples à retenir que la langue altaïque qu’est le mongol. Si le confort n’est pas optimal, c’est toujours amusant d’arpenter les abords des dunes en accrochant votre sac à l’une des bosses de ces bestioles capricieuses.
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