Camille Vorain
Mi casa se llama Popoyo
C’est toi que mon cœur a élu pays d’accueil. Jamais je ne serais prête à te quitter, t’abandonner, te laisser derrière moi, oh toi qui m’a tant donné, m’a fait chavirer, pleurer, rire et aimer. Tu m’as laissé sur le cul, tu m’as donné un lieu où me retrouver, où apprendre à laisser faire le temps. Toi, tantôt amant, tantôt parent, tantôt ville, tantôt nature, tantôt volcan, tantôt océan. Perdu et vivant à la fois.
Mon Nicaragua est teinté de Vénézuéliens et de Nicas. Mon Nica est faible, et si fort à la fois. Il est une explosion d’aventures et de sentiments. Nicaragua, merci.