CARLOS MATO TEJEIRA
25 décembre 2008 : je m’enfuis vers un de...
25 décembre 2008 : je m’enfuis vers un des mes coins préférés de la ville. Le froid matinal, la mer agitée, peu de gens dans les rues, après avoir parcouru la promenade maritime, je m’assieds pour regarder les vagues s’écraser contre la vieille jetée du port. Les sons de la mer sont monotones et doux, comme un vieux disque rayé qui répète infatigablement la meilleure des mélodies. Suis-je égoïste si je ne partage pas ceci avec quelqu’un ?