GERARD DECQ
J'ai la nostalgie de la place des...
J'ai la nostalgie de la place des Sixties, lorsqu'il était de bon ton de s'afficher à la terrasse du Café Rizzi, lieu mythique de rendez-vous de la jeunesse. Même Mac Do, qui lui avait succédé, a disparu. J'ai la nostalgie du Marché aux fleurs et de sa permanence de couleurs.
Bien sûr, les façades médiévales et la tour de pierres, unique reste des remparts, ferment toujours l'espace à l'ouest. Une grande vasque Art Nouveau, aux putti dodus est l'attrait majeur que je trouve à cette place,devenue froide, sans fleur(j'insiste !), simple lieu de passage.
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