Pavillon Chinois

Il fait partie des « musées d'Extrême-Orient », avec la Tour japonaise et le musée d'Art japonais.

Le roi Léopold II avait émis le regret que les Belges ne voyageaient pas assez, et n'investissaient pas dans d'autres pays du monde. Il voulait donc construire, sur une même avenue, des monuments du monde entier.

Le pavillon fut construit en 1910 pour devenir un restaurant de luxe, mais il deviendra rapidement un musée. Il fut construit par l'architecte français Alexandre Marcel, mais les décorations intérieures et le kiosque extérieurs, sont exécutés à Shanghai par souci d’authenticité.

Actuellement musée, le pavillon chinois de Bruxelles a été construit à la demande du roi Léopold II. Son aspect extérieur, aux boiseries polychromes, répond à la mode très répandue des « folies » et des « chinoiseries » du 19eme siècle. Le Pavillon chinois, la Tour japonaise et le Musée d'Art japonais sont regroupés sous l'appellation des « musées d'Extrême-Orient ». Le Musée d'Art japonais est situé dans la dépendance du Pavillon chinois. L'époque d'Edo (1600-1868) y est à l'honneur avec près de 12 000 pièces exposées par roulement en raison de leur extrême fragilité.

La construction du pavillon remonte à l'exposition universelle de Bruxelles en 1958. On trouve cette construction au nord de la ville à côté de l'atomium et du palais royal. On peut aller admirer son architecture ou bien le visiter. Il regorge de pièces, armes, armures, cartes, tissus,.... etc. C'est une visite originale car une fois devant le bâtiment on a l'impression d'être à l'autre bout du monde, le pavillon se trouvant entouré de verdure on a vraiment l'impression d'y être. De plus le pavillon est à proximité de grands parcs fort agréable à partir du printemps.