L’estaminet He Kasteelhof

Des pots de lait de grand-mère accrochés au dessus de son assiette. Des vieux bibelots partout, cageots, cartes postales noir et blanc, boîtes en fer siglées « bêtises de Cambrai ». Un capharnaüm où la vie d’antan résonne entre les poutres et vieilles tommettes. C’est l’estaminet façon nouvelle vague flamande. Une auberge, un bistrot, un restaurant où les tablées sont partagées, où les plats passent de mains en mains. Une sorte de grenier où les rires jonglent avec la musique celte, où l’odeur du maroilles de son voisin de chaise titille quand on avale son dessert au speculoos. Une authenticité