GERARD DECQ
Un village bien vivant et pieux
Lalibela est un bourg plutôt petit alors qu'au temps de sa splendeur on avait excavé tant d'églises.
Contraste entre les guesthouses pour touristes (De nombreux Américains atterrissent à l'aéroport) et les maisons des autochtones, vraiment miséreuses, aux toits de tôle.
On croise des pèlerins, parfois pieds nus, dans les rues pavées. Le jour de marché, de pauvres gens viennent à pied depuis des kilomètres pour vendre un simple fagot de bois.
J'ai bénéficié de l'industrieuse habileté d'un tailleur pour faire recoudre une attache de mon sac d'appareil-photo : le jeune homme adhérait à
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