Vivant en ville, mon luxe c'est de...
Vivant en ville, mon luxe c'est de m'évader. De retrouver la nature dans son état le plus pur, loin du bruit, de la foule, des néons. Les côtes sauvages de Quiberon font parties de ces rares espaces qui n'ont pas été investis mais au contraire protégés (loi littoral de 86)
On si sent si petit, si ridicule face à la force du fracas des lames sur les roches, ces géant de granit qui laissent transparaitre ce qui est sous nos pieds, sous le bitume des villes et qui nous rappellent d'où l'on vient. Et puis il a cette odeur...une odeur d'océan, une odeur de grand large avec quelques fragrance onirique et au bruit du ressac et des cris de mouettes et autres goélands argentés, on se prend à rêver d'une vie de marin pêcheur ou de sirène, d'une vie marquée par les rythmes de la terre loin de l'agitation urbaine.