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On y va quand on est dans la Presqu’île (entre Rhône et Saône). Pour boire un coup, déjeuner ou dîner. Ce vendredi, il faisait un temps splendide à Lyon. Les bras chargés de divers paquets, nous avons trouvé une table pour deux à la terrasse. Il était tôt encore, à peine plus de midi. Nous avons donc boudé la salle et sa déco intérieure inspirée de celle des cafés italiens pour profiter de la chaleur sans subir l’habituelle circulation de la rue Edouard-Herriot, en ce week-end de l’Ascension, l’agitation automobile s’ était calmée… Protégées du soleil par une toile, nous avons craqué pour une salade grecque (13 euros) : Immense, composée de ce qui fait habituellement une bonne salade grecque, de quoi rassasier l’estomac de ma sœur. Quant à moi, j’ai choisi dans les plats du jour le duo de poissons (8 euros), avec une sauce agrémentée de crevettes et de petites seiches. Délicieux. Le tout accompagné d’un quart de Côtes de Provence (4 euros) frais et gouleyant. Nous avons opté, en dessert, pour de franchement bonnes tartes aux pralines roses Sans doute pas très raisonnable pour la ligne, mais tellement bonnes…
Seul bémol – qui ne nous concernait pas directement – un couple et leur fille sont partis sans déjeuner : Plus de trois quarts d’heure entre leur commande et leur départ sans jamais avoir rien vu venir… Espérons pour la réputation du Café Perl que ce ne soit là qu’un regrettable incident qui ne se représentera plus.