Kami

Il villaggio di Kami è nato come accampamento di minatori, col tempo si è allargato attirando persone dai piccoli villaggi dei dintorni (almeno due ore a piedi) e ora anche i campesinos si trovano a essere obbligati a vivere almeno una parte dell'anno, quella non legata ai raccolti della terra (patate soprattutto) per la vicinanza di servizi come la scuola, le poste, la radio. Si trovano quechua e aymara, si sente il castigliano. La gente ti guarda con curiosità e un po' di diffidenza, sono persone molto riservate e orgogliose ma una volta entrati in contatto e conquistata la fiducia non negheranno mai un aiuto. Da Kami sono partiti molti progetti sociali volti alla diffusione delle linee elettriche e all'istruzione ad opera di una missione di sacerdoti piemontesi. Impressionante e maestoso il cerro Kami, la montagna più alta della zona, completamente traforata dai minatori che cercano tungsteno. Per spostarsi è obbligatorio un potente fuoristrada, che possa coprire lunghe distanze su strade sterrate strappate al pendio della montagna ma anche superare con leggerezza i ponti. Al viaggiatore si apre l'infinita distesa delle Ande, catene e catene a perdita d'occhio, non si riesce a contare il numero delle valli che si aprono da ogni lato. Pecorelle, lama, se si è fortunati si può anche vedere qualche condor, o la sua ombra nel terreno. I fiumi hanno il colore della terra che attraversano: l'acqua è sempre contaminata dai minerali se non in alcuni luoghi segreti e preziosi, dove sgorga pura. Bisogna abituare gli occhi allo sguardo di questo mondo e imparare a conoscere, esattamente come ci si abitua al respiro, a 4000m di altezza.

Le village de Kami est né comme un camp minier, au fil du temps il s'est étendu en attirant des gens de petits villages de la région (au moins deux heures de marche) et maintenant même les paysans sont contraints de vivre au moins une partie de l'année, le pas liée aux cultures de la terre (en particulier les pommes de terre) pour la proximité des installations telles que les écoles, les bureaux de poste, à la radio. Ils sont Quechua et Aymara, sent le castillan. Les gens vous regardent avec curiosité et un peu de méfiance, les gens sont très fiers et réservé, mais une fois que nous sommes entrés en contact et n'ont jamais eu la confiance ne sera pas refuser de l'aide. Kami parties sont nombreux projets sociaux visant à la diffusion de lignes électriques et de l'éducation dans les mains d'une mission des prêtres dans le Piémont. Chêne impressionnant et majestueux Kami, la plus haute montagne de la région, complètement perforé par les mineurs à la recherche de tungstène. Est nécessaire pour déplacer un véhicule tout-terrain puissant qui peut couvrir de longues distances sur des routes de terre arrachées à la pente de la montagne, mais aussi surmonter des ponts légers. Le voyageur ouvre l'étendue infinie des Andes, des chaînes et de la chaîne à l'œil, vous ne pouvez pas compter le nombre de vallées qui s'ouvrent de chaque côté. Moutons, lamas, si vous êtes chanceux, vous pouvez même voir quelques condors, ou son ombre dans le sol. Les rivières sont la couleur de la traversée de la terre: l'eau est toujours contaminée par les minéraux s'ils ne sont pas dans certains endroits secrets et précieux, le cas de sources pures. Nous devons habituer ses yeux à l'aspect de ce monde et apprendre à se connaître, juste comme on s'habitue à la respiration, à 4000m de hauteur.