GERARD DECQ
Lorsqu'on quitte Mysore pour mettre le...
Lorsqu'on quitte Mysore pour mettre le cap vers Hassan, on entre dans une zone de culture de céréales. Les ruraux s'activent avec des moyens traditionnels qui évoquent nos campagnes de la Belle Epoque : deux couples battent le blé au fléau. Rythme alterné judicieusement.
Ailleurs, c'est un rouleau monolithe tiré par une paire de boeufs qui tourne inlassablement pour extraire les grains. Quant au vannage, entièrement manuel, il revient aux femmes.
Scènes que je trouve pittoresques, mais pénibles à l'heure de la mécanisation moderne. Economiquement, n'est-ce pas toutefois un frein au chômage
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