Où allez-vous ?
{"cookieList":["CookieConsent","MINUBEV2","disableAutoLogin","__utma","__utmb","__utmc","__utmt","__utmz","_ga","_gat","_gid","__gads","GoogleAdServingTest"],"cookiesGroupFormatted":{"functionality":["CookieConsent","MINUBEV2","disableAutoLogin"],"analytics":["__utma","__utmb","__utmc","__utmt","__utmz","_ga","_gat","_gid"],"marketing":["__gads","GoogleAdServingTest"]},"layer":"\n\n
\n
\n
\n \n\n
\n monnuage utilise ses cookies propres et de tiers pour am\u00e9liorer l'exp\u00e9rience utilisateur, obtenir des statistiques sur l'utilisation du site et proposer des publicit\u00e9s appropri\u00e9es au site. Pour continuer la navigation, vous devez accepter l'utilisation de cookies bas\u00e9s sur vos pr\u00e9f\u00e9rences.\n<\/div>\n
\n \n
\n Voir les d\u00e9tails\n<\/div>\n \n\n
\n
\n
\n
Entrer
Mon profil
Editer mon profil
Déconnexion
Partager une expérience
Publier

Auto Stop

{"cookieList":["CookieConsent","MINUBEV2","disableAutoLogin","__utma","__utmb","__utmc","__utmt","__utmz","_ga","_gat","_gid","__gads","GoogleAdServingTest"],"cookiesGroupFormatted":{"functionality":["CookieConsent","MINUBEV2","disableAutoLogin"],"analytics":["__utma","__utmb","__utmc","__utmt","__utmz","_ga","_gat","_gid"],"marketing":["__gads","GoogleAdServingTest"]},"layer":"\n\n
\n
\n
\n \n\n
\n monnuage utilise ses cookies propres et de tiers pour am\u00e9liorer l'exp\u00e9rience utilisateur, obtenir des statistiques sur l'utilisation du site et proposer des publicit\u00e9s appropri\u00e9es au site. Pour continuer la navigation, vous devez accepter l'utilisation de cookies bas\u00e9s sur vos pr\u00e9f\u00e9rences.\n<\/div>\n
\n \n
\n Voir les d\u00e9tails\n<\/div>\n \n\n
\n
\n
\n
Arica Adresse

1 expérience sur Auto Stop

Entre Tacna au pérou et arica au Chili, ...

Entre Tacna au pérou et arica au Chili, la frontière est au milieu du désert, à 30 km de là, et il y a encore 30 km de désert de l’autre côté pour rejoindre Arica, et à part Arica, il n’y a que du désert sur les 500 prochains km, on comprend donc que ça se bouscule pas pour traverser…
Premier homme qui me prend, pour me déposer 4 km plus loin ! J’en ai 60 à faire, c’est mal barré. Je ne me démonte pas, et m’installe à côté d’un flic qui vérifie la circulation, en me disant qu’à sa vue les gens vont ralentir, puis me voir, puis s’arrêter.

Cinq minutes plus tard, un taxi s’arrête, et me demande où je vais. Il a cinq personnes à bord, je lui dis que je vais à la frontière mais que j’ai plus d’argent. Le chauffeur a déjà mis mon sac dans le coffre, « c’est pas grave, j’t’emmène quand même ! ». Bon ben d’accord alors… On passe la douane, pour la première fois de mon voyage tous les sacs sont fouillés, je dois vider le mien, en me contenant de rire devant la tête de la douanière face à mon sac de linge sale …
Me voilà donc à Arica, à disposer de deux jours et demi pour rejoindre Santiago. Je pars à la sortie de la ville une nouvelle fois, tend le pouce, attends, désespère, dans ce pays si fameux pour l’auto-stop, c’est tout de même un comble ! Un militaire me prend après plus d’une heure d’attente, pour me poser à 10 km de là, en plein désert ! Je remercie poliment, je descends, je fais le bilan de mes réserves en eau et en nourriture, il va pas falloir que je traîne trop ici !

J’attends, très peu de véhicules passent, et très vite, ils ne s’arrêtent pas. Puis un petit van avec deux mamies s’arrête pour m’expliquer par A+B qu’ici c’est pas le bon endroit, que personne s’arrêtera jamais, et que je ferais mieux de retourner sur mes pas pour attendre à la station service ! Et elles demandent à deux hommes qui s’étaient arrêtés dans l’autre sens de me ramener !
De retour à la case départ, un jeune s’arrête pour me proposer de m’emmener… à la gare routière ! Je lui dis que non, que je fais du stop, et là, la nouvelle tombe : il n’y a pas de camions qui travaillent le samedi et le dimanche (« on n’est pas comme ces arriérés de péruviens, nous ! »), et les familles sont en vacances donc avec tous les gamins à l’arrière, j’ai aucune chance. J’ai aucune chance de bouger de là, j’accepte donc l’invitation pour la gare routière, où j’achète un billet pour Santiago pour le lendemain

Le bus vaut son prix : hôte qui vous distribue des coussins et des couvertures, sièges XXL, sélection potable de films, et repas à bord… Les 25h de trajet passent plutôt rapidement, et j’arrive en début d’après midi à Santiago, qui est une ville sympa, aérée, avec des espaces verts très très bienvenus, vus les 35° qui nous écrasent.
Lire tout
Vous connaissez ?
Ajoutez votre opinion et vos photos et aidez les autres voyageurs à découvrir
{"cookieList":["CookieConsent","MINUBEV2","disableAutoLogin","__utma","__utmb","__utmc","__utmt","__utmz","_ga","_gat","_gid","__gads","GoogleAdServingTest"],"cookiesGroupFormatted":{"functionality":["CookieConsent","MINUBEV2","disableAutoLogin"],"analytics":["__utma","__utmb","__utmc","__utmt","__utmz","_ga","_gat","_gid"],"marketing":["__gads","GoogleAdServingTest"]},"layer":"\n\n
\n
\n
\n \n\n
\n monnuage utilise ses cookies propres et de tiers pour am\u00e9liorer l'exp\u00e9rience utilisateur, obtenir des statistiques sur l'utilisation du site et proposer des publicit\u00e9s appropri\u00e9es au site. Pour continuer la navigation, vous devez accepter l'utilisation de cookies bas\u00e9s sur vos pr\u00e9f\u00e9rences.\n<\/div>\n
\n \n
\n Voir les d\u00e9tails\n<\/div>\n \n\n
\n
\n
\n

Information Auto Stop